KYIV/ SAGUENAY, June 10, 2022 - The National Joint Stock Company “Naftogaz of Ukraine” has entered into an agreement with the Canadian energy developer Symbio Infrastructure (“Symbio”) to purchase liquefied natural gas (LNG) and green liquid hydrogen (LH2) from Quebec, Canada.
Le gaz naturel est une énergie clé dans la transition énergétique. Une autre preuve? La Commission européenne investit 200 M$ en Grèce pour appuyer la sortie du charbon en Europe du sud-est !
Symbio Infrastructure, société en commandite qui chapeaute le projet Énergie Saguenay développé par GNL Québec, a annoncé aujourd’hui la conclusion d’un protocole d’entente avec Siemens Énergie, l’une des principales entreprises de technologie et d’équipements énergétiques au monde.
Une cinquantaine d’engagements concrets pour élever les standards de l’industrie avec la volonté de construire un projet du genre unique au monde
GNL Québec poursuit le développement du projet Énergie Saguenay et confirme sa volonté de se démarquer de ce qui se fait ailleurs dans le monde en développant un projet unique qui ira au-delà, dans plusieurs cas, des plus hauts standards actuels de l’industrie. Fruit du travail des derniers mois, c’est une vingtaine de nouveaux engagements afin de réduire les impacts du projet tout en maximisant les bénéfices pour la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean et pour le Québec. Avec une cinquantaine d’engagements et de bonifications apportées depuis 2014, l’équipe de GNL Québec propose aujourd’hui, en continuité avec son approche d’amélioration continue, un projet perfectionné grâce à la collaboration répétée des acteurs du milieu.
Au cours des derniers mois, des conclusions trompeuses ont circulé sur des calculs laissant croire à un impact tarifaire pour la clientèle d’Hydro-Québec, attribuable à la seule réalisation du projet Énergie Saguenay. Ces calculs, dont les détails demeurent nébuleux et n’ayant fait l’objet d’aucune validation indépendante ont récemment été remis en perspective à l’Assemblée nationale par le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles du Québec, M. Jonatan Julien et la présidente-directrice générale d’Hydro-Québec, Mme Sophie Brochu.
Nous sommes fiers de confirmer officiellement le mandat de Tony Le Verger à titre de président de GNL Québec. Cette confirmation s’inscrit dans le développement de plusieurs initiatives qui permettent d’entrevoir le futur de GNL Québec avec optimisme et confiance.
Œuvrant au sein de l’équipe de GNL Québec depuis 2014 et ayant été impliqué de ce fait au niveau commercial dans plus d’une vingtaine de pays, Tony possède une grande connaissance du projet et de l’environnement dans lequel il s’inscrit. Il a de plus acquis au cours de sa carrière une solide expérience dans le domaine du gaz naturel et du secteur de l’énergie en général. Ses connaissances de l’industrie, de ses zones d’amélioration et du potentiel d’innovation ont d’ailleurs été mis à profit à plusieurs reprises depuis son arrivée.
Le 24 mars dernier, était publié le rapport du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) au sujet du projet de construction d’une usine de liquéfaction de gaz naturel à Saguenay.
Il est important de préciser qu’en aucun cas, le rapport ne rejette le projet. Le BAPE y soulève une cinquantaine d’avis et, depuis les audiences de l’automne dernier, l’équipe de GNL Québec continue d’être à pied d’œuvre pour rehausser les standards de l’industrie tant d’un point de vue technique, que social et environnemental. D’ailleurs, la situation énergétique mondiale a évolué depuis la conclusion des audiences du BAPE avec, par exemple, l’ajout du gaz naturel dans la relance verte européenne.
La pertinence du gaz naturel dans la transition énergétique a été prouvée à maintes reprises et de nombreux exemples continuent d’éclairer notre réflexion en ce sens.
Bien qu’il puisse sembler contre-intuitif de se tourner vers une énergie fossile pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d’autres énergies fossiles sur la planète, le calcul est somme toute simple à comprendre : lors de la combustion, le gaz naturel émet 50% moins de GES que le charbon, ce qui en fait le combustible fossile à la plus faible empreinte carbone.
Lors de la combustion, le charbon émet :
- 50% + d'émissions de GES
- 97,6% + de particules fines
- 98,5% + de SOx
- 40% + de NOx
Comme tous les secteurs industriels mondiaux, le marché international de l’énergie a été bouleversé, en 2020, par les impacts de la pandémie mondiale de COVID-19. L’année qui débute sera aussi fortement influencée par l’évolution de la crise sanitaire, et surtout par le déroulement de la campagne de vaccination qui dictera l’allure de la reprise normales des activités industrielles et commerciales sur la planète, lesquelles ont des impacts directs sur la consommation mondiale d’énergie et, évidemment, sur les sources de production de cette énergie.
L’équipe de GNL Québec, qui pilote le projet d’usine de liquéfaction de gaz naturel Énergie Saguenay, se réjouit et salue la décision de sa compagnie partenaire, Gazoduq inc., qui s’est engagée officiellement, plus tôt aujourd’hui, à viser les opérations d’un gazoduc carboneutre comprenant des postes de compression alimentés à l’hydroélectricité propre et renouvelable entre l’Ontario et sa future usine de liquéfaction de la zone industrialo-portuaire de Port de Saguenay
Au moment d’écrire ces lignes, les premières pages de 2021 sont déjà tournées. J’aimerais tout de même prendre un instant pour vous souhaiter à tous et à toutes la bonne année, de demeurer en santé et de pouvoir enfin retrouver les vôtres bientôt.
GNL Québec prend acte de l’annonce du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) de prolonger les délais impartis au mandat d’enquête du projet Énergie Saguenay.
Notre vision est claire : nous visons à compenser la totalité des émissions de gaz à effet de serre (GES) émise par notre futur complexe de liquéfaction de gaz naturel. Cela représente l’objectif de compenser 421 000 tonnes annuellement de GES.
Le fondateur de GNL Québec a eu l'occasion de s'exprimer par écrit dans le cadre des audiences du BAPE. Apprenez-en plus sur les origines du projet Énergie Saguenay en lisant le mémoire écrit par Jim Illich.
Les employés de GNL Québec liés au projet Énergie Saguenay ont eu l'occasion de livrer un vibrant plaidoyer lors de la deuxième étape des audiences publiques du BAPE.
Dans le cadre de la première partie des travaux publics du BAPE portant sur le projet Énergie Saguenay, de GNL Québec, l’équipe a eu l’occasion, à l’invitation de la Commission, d’en présenter un résumé détaillé.
Lisez la déclaration émise par l’équipe de GNL Québec dans la foulée de la conclusion de la première partie des audiences publiques du BAPE portant sur le projet Énergie Saguenay.
LETTRE OUVERTE | Après six mois de délais causés par la crise de la COVID, la première partie des travaux publics de la Commission du Bureau d’audience publique sur l’environnement (BAPE) chargée d’examiner le projet Énergie Saguenay de GNL Québec s’amorce, finalement, le lundi 21 septembre.
Le dévoilement, ce matin, d’un rapport d’étape portant sur la modélisation du bruit subaquatique du transport maritime et sur leurs répercussions potentielles sur les mammifères marins du Saint-Laurent, réalisé par l’équipe du Pr Clément Chion, de l’Université du Québec en Outaouais, confirme toute l’importance et toute la pertinence de la Charte de protection et du programme de gains sonores déployés par GNL Québec dans le cadre du projet Énergie Saguenay.
Bonjour,
La Commission chargée d’analyser le projet Énergie Saguenay a rendu publiques, le 1er septembre, les dates et les informations clés concernant le déroulement des travaux.
Après une pause de près de six mois causée par la crise de la COVID-19, la commission d’enquête du Bureau d’audience publique sur l’environnement (BAPE) chargée d’évaluer le projet Énergie Saguenay amorcera ses travaux à compter du 14 septembre prochain.
L’Union européenne (UE) vient de débloquer plus de 140 millions d’euros afin de soutenir des projets visant spécifiquement à accroître la disponibilité du gaz naturel liquéfié dans les transports routiers et dans la navigation maritime commerciale.
Le géant de l’automobile Volkswagen a pris possession, en juin dernier, du premier de ses deux nouveaux navires alimentés au gaz naturel liquéfié (GNL) destinés au transport de ses voitures neuves vers les différents marchés.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a dévoilé, le 18 juin dernier, un plan de relance mondial favorisant une accélération nécessaire de la transition énergétique sur la planète dans un contexte de redémarrage de l’économie aux quatre coins du globe.
Dans la foulée du dévoilement, le 20 mai dernier, d’un rapport portant sur les perspectives des énergies renouvelables dans le monde, le directeur de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le Dr Fatih Birol, a plaidé pour une accélération du déploiement de celles-ci, notamment dans le cadre de la relance mondiale à prévoir après la crise de la COVID-19.
L’équipe de GNL Québec est très heureuse de l’annonce faite aujourd’hui par le Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE), qui confirme la reprise du processus d’évaluation environnementale sur le projet Énergie Saguenay à partir du 14 septembre prochain.
La semaine dernière, les cinq chambres de commerce du Saguenay–Lac-Saint-Jean ont uni leurs voix et témoigné leur appui au projet Énergie Saguenay et à une reprise à court terme des audiences publiques du BAPE, par le biais d’une lettre ouverte publiée dans plusieurs médias de la région.
La lettre ouverte, intitulée Les nouvelles énergies fossiles ne sont pas une passerelle pour la transition énergétique, publiée samedi dernier dans cette tribune, met en lumière des positions subjectives contre le gaz naturel qui ne reflètent pas l’état du savoir scientifique international et le besoin, voire même le devoir, de communiquer la science sans parti pris, de façon complète, rigoureuse, prudente et nuancée.
Les effets des politiques d’abandon du charbon se font de plus en plus sentir dans le secteur énergétique en Europe, et c’est l’Allemagne, première économie du Vieux-continent, qui en est l’exemple le plus frappant.
La priorité des citoyens et des gouvernements demeure toujours, et avec raison, la gestion de la pandémie de COVID-19. Néanmoins, il commence à être de plus en plus question, dans l’espace public, de la relance économique et du retour à une situation plus normale.
Soucieuse d’agir en bon citoyen corporatif et de faire sa part pour freiner la propagation de la COVID-19, GNL Québec a décidé, lundi dernier, de se mettre en mode 100% télétravail pour les prochaines semaines.
SAGUENAY, le 13 mars 2020 – La direction de GNL Québec, promoteur du projet d’usine de liquéfaction de gaz naturel Énergie Saguenay, confirme l’annulation des séances de la première partie de l’audience publique portant sur son projet, laquelle devait débuter le lundi 16 mars prochain, à Saguenay.
Au cours des derniers jours, un investisseur privé potentiel d’envergure a décidé, à la toute dernière seconde, tel que rapporté dans La Presse de ce matin, de ne pas aller de l’avant avec son investissement du projet Énergie Saguenay. Cette décision a été prise en raison du contexte politique qui prévaut, depuis un mois maintenant, au Canada.
Au cours des derniers mois, l’équipe de GNL Québec a démontré à plusieurs reprises, par des actions et des engagements concrets, son désir d'innover et de créer un maximum d’opportunités, autant économique que sociale et environnementale, pour le Saguenay-Lac-Saint-Jean et le Québec dans le cadre du projet d’usine de liquéfaction de gaz naturel Énergie Saguenay.
Le projet Énergie Saguenay représente le plus important projet industriel privé de l’histoire du Québec, et à ce titre, il s’agit d’une occasion unique de diversification et de croissance économique à saisir pour la province, et particulièrement pour le Saguenay–Lac-Saint-Jean.
La question de la méthode employée afin d’extraire une partie du gaz naturel qui sera liquéfié au complexe Énergie Saguenay de GNL Québec revient périodiquement dans l’actualité. Voici quelques faits à propos de la fracturation hydraulique, cette technique d’extraction de gaz de réservoir étanche utilisée au Canada en toute sécurité depuis près de 60 ans, à travers des évolutions et innovations technologiques importantes qui permettent de limiter l’empreinte environnementale de ces activités.
Le rôle crucial du gaz naturel dans le développement des énergies renouvelables et dans la réduction mondiale des gaz à effet de serre (GES) est une fois de plus clairement exposé dans un rapport publié par l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Le rapport, rendu public le 11 février dernier, indique que les émissions mondiales de GES se sont stabilisées en 2019, une situation en partie attribuable au remplacement du charbon par du gaz naturel. L’analyse démontre aussi de manière éloquente comment le gaz naturel est une énergie complémentaire qui appuie le développement des énergies renouvelables intermittentes.
Motivée par sa volonté d’innover et d’établir un nouveau standard de durabilité, l’équipe de GNL Québec est très fière de confirmer aujourd’hui le déploiement d’une Charte d’engagements environnementaux pour la protection des mammifères marins. Cette Charte est destinée à guider les actions de l’entreprise en matière de gestion des risques possibles de ses activités sur les mammifères marins du Saguenay et du Saint-Laurent, particulièrement du béluga du Saint-Laurent. L’initiative est notamment appuyée par une enveloppe de 5 M$ destinée à soutenir la réalisation de mesures et d’actions concrètes permettant de réduire l’empreinte sonore subaquatique des usagers du fjord du Saguenay, notamment grâce à son Programme de gainssonores(PGS) novateur, et à favoriser l’avancement des connaissances.
Le charbon est encore, en 2020, la première source employée pour générer de l’électricité dans le monde et demeure la première source mondiale d’émission de gaz à effet de serre (GES) liée au secteur de l’énergie, avec 40 % des émissions totales. Pire encore, la demande pour le charbon va continuer à croître au cours des prochaines années, portée par les besoins grandissants en énergie en Asie, particulièrement en Chine et dans des pays comme le Pakistan et le Vietnam.
Ce texte d'opinion a été écrit par Stéphanie Fortin, directrice principale des affaires publiques et des relations avec les communautés chez GNL Québec.
Dans un nouveau rapport, présenté en marge du Forum économique mondial de Davos, l’Agence internationale de l’Énergie (AIE) appelle l’industrie gazière internationale à « en faire plus » pour lutter contre les changements climatiques notamment en adoptant des pratiques innovatrices visant à réduire les émissions de GES à la source.
Depuis maintenant plus de 5 ans, l’équipe de GNL Québec s’active à bonifier continuellement le projet Énergie Saguenay afin que le futur complexe, qui nécessite un investissement de quelque 9 G$, s’intègre le mieux possible au milieu. Nous visons un objectif clair : réduire l’ensemble des impacts du projet tout en maximisant les bénéfices pour le Saguenay–Lac-Saint-Jean et le Québec.
Les enjeux énergétiques mondiaux et le contexte dans lequel s’inscrit le projet Énergie Saguenay sont complexes et se rattachent à des réalités avec lesquelles nous sommes, au Québec, moins familiers, notamment en raison de notre privilège de pouvoir compter sur un immense potentiel hydroélectrique propre et renouvelable.
Depuis maintenant plus de 5 ans, l’équipe de GNL Québec s’active à bonifier continuellement le projet Énergie Saguenay afin que le futur complexe, qui nécessite un investissement de quelque 9 G$, s’intègre le mieux possible au milieu. Nous visons un objectif clair : réduire l’ensemble des impacts du projet tout en maximisant les bénéfices pour le Saguenay–Lac-Saint-Jean et le Québec.
Le marché mondial du gaz naturel liquéfié (GNL) connait un essor constant depuis quelques années. Dans un contexte de transition vers des sources d’énergies moins polluantes, le gaz naturel demeure la seule source d’énergie fossile qui continuera d’afficher une croissance d’ici les prochaines décennies. Pourquoi? Notamment parce que cette transition vers des énergies plus propres et renouvelables ne peut se faire sans une source complémentaire qui vient pallier leur intermittence, confirmait récemment l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans son rapport annuel.
La demande mondiale de gaz naturel liquéfié (GNL) est en pleine expansion et le Canada, qui pourrait devenir un joueur majeur avec l’ajout du projet piloté par GNL Québec et quelques projets majeurs dans l’Ouest, dispose d’un atout que les autres pays exportateurs n’ont pas.
Le marché mondial du gaz naturel liquéfié (GNL) est en pleine ébullition et continuera à croître au cours des 5 à 10 prochaines années. De nombreux pays producteurs de gaz investissent donc massivement à l’heure actuelle afin de se positionner en vue de combler la demande. Toutefois, aucun d’entre eux ne possède l’ensemble des avantages proposés par GNL Québec avec le projet Énergie Saguenay, soit un complexe de liquéfaction carboneutre, alimenté à 100% en hydroélectricité évoluant dans un climat froid, caractéristiques qui permettront de produire le gaz naturel liquéfié le plus durable au monde dans une usine émettant 85% moins de gaz à effet de serre qu’une installation comparable aux États-Unis.
La transition vers une source d’énergie moins polluante comme le gaz naturel ne touche pas seulement les centrales au charbon dans le monde, mais aussi celles qui fonctionnent au pétrole ou au mazout. C’est d’ailleurs ce que la plus grande centrale électrique de la République dominicaine s’apprête à faire, en passant entièrement au gaz naturel dès 2020.
Déterminés à s’assurer que le projet d’usine de liquéfaction de gaz naturel Énergie Saguenay génère des impacts majeurs et un effet de levier important pour les entreprises régionales, GNL Québec et le Comité de maximisation des retombées économiques du Saguenay-Lac-Saint-Jean (CMAX) s’unissent dans le but de faciliter les liens d’affaires avec le milieu socioéconomique et de prioriser l’octroi de contrats d’envergure, ici-même dans la région, et ce autant en période de construction du complexe que pendant les opérations de celui-ci.
La production électrique mondiale des centrales au charbon pourrait atteindre un creux historique d’ici la fin de l’année, selon une analyse publiée par la revue britannique Carbon Brief le 25 novembre dernier.
La Chine a beau avoir signifié son désir de réduire ses émissions de CO2 en signant l’accord de Paris en 2015, la réalité économique et énergétique de l’Empire du Milieu fait en sorte que plusieurs centrales au charbon pourraient voir le jour au cours des prochaines années, selon une étude de la Global Energy Monitor parue en novembre.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) dévoile chaque année ses prévisions dans ce qui est considéré comme l’ouvrage de référence par excellence en analyse du marché énergétique mondial, le World Energy Outlook. Sa dernière publication annuelle, parue le 12 novembre, conclut dans son scénario le plus réaliste que malgré la forte croissance des énergies renouvelables d’ici 2040, les énergies fossiles — et particulièrement le gaz naturel — continueront d’avoir une place prépondérante afin de répondre à la hausse inévitable de la demande d’énergie dans le monde.
L’équipe de GNL Québec a annoncé le 20 novembre dernier un investissement totalisant 350 000 $ afin de soutenir un projet de recherche interuniversitaire sur la séquestration du carbone, portant notamment sur le gaz naturel renouvelable (GNR) issu de la biomasse forestière résiduelle. Cet investissement représente une action concrète dans le cadre de la vision de l’entreprise à opérer une usine de liquéfaction de gaz naturel carboneutre à Saguenay.
La demande énergétique des pays de l’Asie du Sud-Est va croître deux fois plus vite que celle du reste du monde au cours des 20 prochaines années, soit l’équivalent d’ajouter la production énergétique actuelle du Japon au mix énergétique mondial.
Le transport routier des biens et des personnes est une source importante de gaz à effet de serre (GES) à l’échelle mondiale. C’est particulièrement le cas dans les pays développés et dans les pays en voie de développement ou en plein essor économique, tels que la Chine et l’Inde.
L’équipe de GNL Québec a pris connaissance de la sortie de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS), qui se définit comme un « institut de recherche indépendant et progressiste diffusant un contre-discours aux perspectives que défendent les élites économiques ». Nous tenons à faire le point sur les allégations concernant le modèle d’organisation financière et de structure corporative de nos investisseurs et des dividendes potentiels qui pourraient éventuellement être versés en période d’opération.
L’équipe de GNL Québec est très heureuse de confirmer aujourd’hui l’octroi de huit contrats de fourniture de biens et services à des entreprises implantées au Saguenay–Lac-Saint-Jean, dont un important mandat d’ingénierie-conseil à la société Stantec. Ces contrats totalisant plus de 3,6 M$ s’inscrivent dans le cadre de la poursuite du processus d’ingénierie du projet Énergie Saguenay, une période névralgique dans le développement du projet d’usine de liquéfaction de gaz naturel, évalué à 9 milliards $.
Au cours des dernières semaines, le Japon a annoncé son intention d’investir massivement dans la production mondiale de gaz naturel liquéfié (GNL) avec deux objectifs bien précis en tête : remplacer en partie sa consommation de pétrole en provenance du Moyen-Orient et prévoir la hausse imminente de la demande mondiale pour une source d’énergie fiable et moins polluante.
Le gouvernement de la Colombie-Britannique a annoncé mercredi dernier qu’il allait contribuer financièrement au développement du tout premier système de ravitaillement de gaz naturel liquéfié (GNL) entre navires sur la côte ouest de l’Amérique du Nord.
La station radiophonique régionale 95,7 KYK-FM, en collaboration avec la firme SOM, a dévoilé, mardi matin, les résultats d’un sondage qui confirment que 64% des citoyens du Saguenay appuient le projet Énergie Saguenay.
Une quarantaine d’intervenants ont signé, ce matin, une lettre ouverte dans La Presse, laissant entendre que le projet Énergie Saguenay est susceptible de nuire au développement des énergies renouvelables à l’échelle mondiale, tout en risquant d’aggraver, au Québec et au Saguenay-Lac-Saint-Jean, une situation de rareté de main d’œuvre.
Cette démarche, malheureusement, s’appuie sur de fausses prémisses, particulièrement en regard des perspectives en plein bouleversement du marché énergétique international.
Les chercheurs de l’équipe du professeur Claude Villeneuve, de la Chaire en éco-conseil de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), ont récemment rendu public leur rapport présentant les pistes d’actions crédibles et efficaces que GNL Québec pourrait déployer afin d’opérer un complexe de liquéfaction de gaz naturel carboneutre.
Dans la foulée de la journée « climat » du 27 septembre dernier, nous estimons pertinent de prendre la plume afin de rappeler la vision qui anime le projet Énergie Saguenay : lutter concrètement contre les changements climatiques et la pollution de l’air à l’échelle mondiale, et ce grâce au savoir-faire et aux ressources technologiques du Saguenay-Lac-Saint-Jean et du Québec.
Depuis le début de l’année 2019, l’Espagne a réduit de 20% ses émissions de gaz à effet de serre (GES) générés par sa production d’électricité, comparativement à la même période en 2018.
Comment?
En remplaçant une grande partie du charbon utilisé par du gaz naturel, moins émetteur de GES.
À compter de 2026, le gaz naturel sera la première source d’énergie employée dans le monde, devant le pétrole. En 2039, la capacité de réception et de traitement du gaz naturel liquéfié aura doublé afin de répondre à la demande croissante pour cette énergie. Et, dans un contexte de transition énergétique et de lutte contre les changements climatiques, l’avenir appartient aux projets énergétiques axés sur les percées technologiques et la saine gestion des émissions de gaz à effet de serre qu’ils génèrent.
L’exemple de la politique énergétique nationale du Royaume-Uni fournit, dans le contexte du projet Énergie Saguenay, un exemple probant de l’importance du gaz naturel dans le processus de transition énergétique de plusieurs pays d’Europe et d’Asie.
En mai dernier, dans une lettre ouverte publiée dans la foulée de nos activités consultatives destinées au grand public, je m’engageais à reprendre la plume régulièrement afin de faire le point sur l’avancement d’Énergie Saguenay. Compte tenu de l’actualité des dernières semaines, j’estime le moment pertinent pour donner suite à cet engagement.
Le transport maritime représente la colonne vertébrale du commerce mondial.
Et, au cours des prochaines décennies, le gaz naturel liquéfié (GNL) jouera un rôle clé afin de diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES) émis par cette industrie.
Travailler avec le principe de précaution : nous sommes tous inquiets quant à l’avenir du béluga
Comme toutes les activités humaines présentes ou futures dans l’habitat essentiel du béluga, incluant le passage des bateaux de croisières, les activités d’observation des mammifères marins, le trafic permanent des traversiers à l’embouchure du Saguenay et l’ensemble de la navigation sur le Saint-Laurent, les navires de GNL Québec peuvent constituer un risque potentiel au rétablissement du béluga.
Le professeur Claude Villeneuve et son équipe de la Chaire en éco-conseil de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) ont rendu public, lundi, leur étude présentant les pistes de solutions et les recommandations permettant au projet Énergie Saguenay de remplir son engagement à opérer une usine carboneutre.
Un accroissement de la production de gaz naturel ne signifie pas nécessairement plus d’émissions fugitives de méthane dans l’atmosphère.
Plusieurs jalons importants ont ainsi été franchis, au cours des dernières semaines, alors que les processus d’évaluation environnementale progressent, et ce autant du côté du gouvernement fédéral qu’au niveau du gouvernement provincial.
«Le gaz naturel est un des piliers du mix énergétique mondial. Là où il remplace des énergies plus polluantes, il permet d’améliorer la qualité de l’air et de réduire les émissions de CO2.» - Dr Faith Birol, Directeur exécutif, Agence internationale de l’énergie
L’enjeu des émissions de méthane, aussi appelées fuites fugitives ou émissions fugitives, est souvent soulevé dans l’espace public lorsqu’il est question des impacts environnementaux des projets relatifs au gaz naturel.
Pour comprendre comment le projet Énergie Saguenay permettra de lutter concrètement contre les gaz à effet de serre (GES) et la pollution de l’air sur la planète, il faut comprendre à quoi servira le gaz naturel liquéfié (GNL) qu’il produira.
Le projet Énergie Saguenay vise à acheminer le gaz naturel liquéfié (GNL) le plus respectueux de l’environnement disponible sur les marchés mondiaux. Ce GNL, particulièrement en Europe et en Asie, doit majoritairement servir d’énergie de remplacement au charbon et aux produits pétroliers, dont la combustion émet davantage de gaz à effet de serre (GES) et de particules polluantes dans l’air.
Déterminée à établir un nouveau standard au sein de son industrie et à dépasser les attentes, GNL Québec s’est engagée à faire de l’usine de liquéfaction de gaz naturel Énergie Saguenay une usine carboneutre, via un mandat de recherche octroyé à la Chaire en éco-conseil de l’Université du Québec à Chicoutimi.
Le projet Énergie Saguenay vise à rendre disponible sur les marchés le gaz naturel liquéfié (GNL) le plus durable qui soit grâce au climat froid du Saguenay-Lac-Saint-Jean, qui facilite le processus de liquéfaction du gaz, et à l’utilisation de l’hydroélectricité québécoise propre et renouvelable.
Quelle est la durée de vie prévue du projet Énergie Saguenay?
Le chiffre de 25 ans a été soulevé, dernièrement, par certains, dans l’espace public. Dans les faits, le projet n’a pas de date d’expiration fixe et sa durée de vie dépend de plusieurs facteurs, autant économique qu’environnementaux, et dépend évidemment également de l’évolution du marché mondial de l’énergie.
L’auteure de cette lettre d’opinion est Stéphanie Fortin, directrice des Affaires publiques et des relations avec les communautés chez GNL Québec. Elle réagit au texte intitulé « L’avenir ne roule pas au gaz », signé par les députées Manon Massé et Émilise Lessard-Therrie, qui a été publié dans notre édition de vendredi.
Depuis maintenant plusieurs semaines, différents groupes véhiculent dans l’espace public des informations erronées à l’effet que le projet Énergie Saguenay ajouterait dans l’atmosphère 7,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre (GES) et annulerait ainsi les efforts du Québec en la matière. Cette affirmation est fausse et peut difficilement tenir scientifiquement.
Chez GNL Québec, nous accordons la plus grande importance à la science et à la communauté scientifique. Nous accordons également la plus haute importance au débat public qui se fait dans le respect des points de vue de chacun et sur des bases factuelles et véridiques. Comme initiateur de l’un des plus grands projets d’investissement privé de l’histoire du Québec, nous avons la responsabilité d’informer convenablement les citoyens et de répondre aux préoccupations en toute transparence. C’est ce que nous nous efforçons de faire depuis le lancement du projet il y a maintenant près de cinq ans.
Le processus d’évaluation environnementale du projet Énergie Saguenay continue à suivre son cours. Ainsi, notre projet a franchi dernièrement récemment deux étapes importantes.
La voie navigable du Saguenay est, en moyenne,10 fois plus profonde et 3 fois plus large que la voie maritime du Saint-Laurent. La navigation de navires-citernes de GNL est donc tout à fait sécuritaire et possible, même dans un fjord, comme c’est le cas en Norvège.
VRAI OU FAUX?
Le projet de gaz naturel liquéfié d’Énergie Saguenay contribuerait à ajouter 7,8 millions de tonnes de gaz à effet de serre au Canada?
Pour bien comprendre le projet, il faut comprendre d’où proviendra la matière première qui sera liquéfiée à Saguenay puis expédiée en Europe et en Asie pour y remplacer du charbon et du pétrole, plus polluant et émettant davantage de gaz à effet de serre.
Dans la foulée des récentes consultations publiques tenues à La Baie, Saint-Fulgence et Jonquière concernant le projet Énergie Saguenay, le président de GNL Québec, Pat Fiore, fait le point, dans une lettre ouverte publiée aujourd’hui dans Le Quotidien, et remercie les citoyennes et les citoyens qui ont participé à l’exercice.
Au cours des derniers jours, des informations et des interprétations ont circulé dans certains médias et sur les médias sociaux, concernant les activités de relations gouvernementales de l’équipe d’Énergie Saguenay. Nous estimons pertinent, aujourd’hui, d’apporter certaines précisions.
GNL Québec annonce la tenue des trois séances publiques d’information, de consultations et d’échanges avec la communauté. Ces rencontres se dérouleront en continu les 7, 8 et 9 mai prochain, respectivement à La Baie, Saint-Fulgence et Jonquière.
Le transport de gaz naturel liquéfié (GNL) par navires-citernes est connu et maîtrisé depuis plus de 30 ans. Au cours de ces cinq décennies, plus de 135 000 livraisons de GNL ont été accomplies en toute sécurité aux quatre coins du globe, dans certains des ports et des voies maritimes les plus achalandés au monde.
Pourquoi avoir choisi le Saguenay-Lac-Saint-Jean? C’est sans doute l’une des questions les plus souvent posées à l’équipe du projet Énergie Saguenay. En effet, comment est-ce que l’idée d’ériger un complexe de liquéfaction de gaz naturel au Saguenay a-t-elle bien pu s’imposer à l’esprit des experts à l’origine de GNL Québec ?
GNL Québec est fière de rendre publique aujourd’hui l’étude d’impact environnemental (ÉIE) de son projet Énergie Saguenay ainsi que l’analyse de cycle de vie produite par le Centre international de référence sur le cycle de vie des produits (CIRAIG)
Considérant son objectif d’être l’usine de liquéfaction de gaz naturel la plus innovante et la plus durable au monde, GNL Québec est très heureuse d’annoncer qu’elle mettra tous les efforts nécessaires afin d’opérer un complexe carboneutre et ainsi faire partie des solutions dans la lutte aux changements climatiques
L’équipe des relations avec la communauté de GNL Québec est heureuse de vous accueillir sur le blogue du projet Énergie Saguenay.
Cet outil s’ajoute à notre infolettre, à notre fil Twitter, à notre page Facebook et à l’ensemble de nos autres initiatives de communication déployées, depuis 2014, afin d’échanger avec la communauté, le milieu et avec nos partenaires.